Montréal, le 1er juin – Denis Coderre, maire de Montréal et Président de Metropolis, l’association mondiale des grandes métropoles qui regroupe 140 membres, s’est exprimé ainsi au sujet du retrait des États-Unis de l’Accord de Paris :
« L’Accord de Paris, une réussite diplomatique historique, exprime une volonté sans précédent de la communauté internationale de mettre la planète sur la voie d’un développement plus durable. Les villes ont joué un rôle probant dans le succès de la conférence de Paris, en affirmant la détermination des dirigeants municipaux et régionaux d’agir ensemble pour lutter contre les changements climatiques. La déclaration du Président des États-Unis de se retirer de l’Accord de Paris sème la consternation dans les grandes villes du monde. »
« Des maires du monde entier se sont donné rendez-vous à Montréal du 19 au 23 juin prochain dans le cadre du Congrès de Metropolis. Sous le thème Enjeux Globaux : métropoles en action, le changement climatique sera au cœur de nos délibérations, en collaboration avec d’autres réseaux de villes tel le C40 Climate Leadership Group et ICLEI. «
Ce soir, pour soutenir l’Accord de Paris, dit COP21, Denis Coderre a fait illuminer l’hôtel-de-ville de Montréal en vert. De nombreux maires à travers le monde ont pris la même décision, dont New-York, Paris ou encore Chicago. De son côté Emmanuel Macron, le président de la République française, a pris la parole à la télévision française à 23h30, signe d’une crise grave, pour dénoncer l’attitude du président américain,
(source: Ville de Montréal – Cabinet du maire et du comité exécutif)
(crédit photo: Twitter)
N’en déplaise a Codere ,aux idéologues de la gauche écolo et de la gauche médiatique ,.. Trump n’est pas un imbécile : il as luet analyser cet accord de dupe
Trump n’as pas été élu pour mettre la clé dans la porte de l’économie américaine avec cet accord de dupe accepter par Obama le mou dont le seul but était de se faire aimer et glorifier par la gauche environnementale ,la gauche médiatique et leur idiots utiles comme le politicien démagogue Codere
Un accord de dupe accepter par Obama ou ils sont menottés et astreint a toute sorte de contraintes légales, juridiques,économiques et environnementales alors que d’autres pays comme la Chine et l’Inde sont exclus de toute contrainte du même type
Selon les Accords de Paris, les États-Unis doivent d’ici 2040, réduire leur production de charbon de 86%, mais pendant ce même temps, la Chine est autorisée à construire des centaines de mines de charbon. « Donc nous ne pouvons pas construire des mines, mais ils peuvent, » dit Trump.
L’Inde est autorisée à doubler sa production de charbon d’ici 2020 et les États-Unis doivent la réduire, en quoi cela profite-t-il à la réduction du CO2 ? « Réfléchissez à ça, dit Trump. L’Inde peut doubler sa production de charbon. Nous sommes supposés éliminer la nôtre. Même l’Europe est autorisée à continuer à construire des mines de charbon. »
La Chine est autorisée à augmenter ses émissions de CO2 pendant 13 ans : « ils peuvent faire tout ce qu’ils veulent pendant 13 ans, pas nous, » explique Trump. Là encore, en quoi cela contribue-t-il à lutter contre le réchauffement ?
Pour respecter leurs engagements, les États-Unis devront réduire leur production de gaz naturel de 31%, de papier de 12%, de ciment de 23%, de fer et d’acier de 38%. Mais ces matières premières, les États-Unis en ont besoin. Ils devront alors les importer. Donc, laisser d’autres pays les produire ! Où est la logique ? Où est la réduction des gaz à effet de Serre ?
« En résumé, les accords n’éliminent pas des emplois, ils se contentent de les transférer en dehors des États-Unis, et les envoient dans des pays étrangers », note Trump, qui ajoute, « ces accords sont moins à propos du climat et beaucoup plus à propos des avantages financiers que vont en tirer d’autres pays que les États-Unis. »
C’est la seule raison pour laquelle la Chine ,l’inde et d’autre pays ont signer ces accords, c’est parce qu’ils étaient avantager économiquement ..
LA VÉRITÉ A SES DROITS AUSSI
« ces accords sont moins à propos du climat et beaucoup plus à propos des avantages financiers que vont en tirer d’autres pays que les États-Unis. »