Dans une tribune publiée par le quotidien Le Devoir, le consul général de France à Québec plaide pour une relation France-Québec du savoir.
Soixante ans après la doctrine Gérin-Lajoie, la coopération scientifique entre la France et le Québec atteint un niveau d’excellence salué par les chercheurs et les institutions. À la veille de l’ouverture du Congrès de l’Acfas, Éric Lamouroux rappelle que cette relation universitaire unique « repose sur une convergence de valeurs qui promeuvent la liberté universitaire et reconnaissent l’apport déterminant de la science au progrès de nos sociétés ».
Renouvelée en 2024, l’entente sur les mobilités étudiantes renforce cet engagement mutuel en offrant des conditions d’études exceptionnelles aux étudiants québécois et français. La France reste la première destination des étudiants québécois, et inversement pour les Français au Québec.
« Investir dans la recherche et l’éducation n’est plus un choix, mais une nécessité », affirme le diplomate français, qui insiste sur l’importance de cette alliance francophone face aux défis mondiaux. De l’intelligence artificielle à la biodiversité, une trentaine de laboratoires communs incarnent déjà cette coopération de pointe.
Lire la tribune: https://www.ledevoir.com/opinion/idees/875512/idees-france-quebec-cle-batir-plus-jamais-avenir-savoir
(crédit photo de Une: Université de Montréal)